vendredi 26 février 2010

Qu'est-ce que vous remarquez de la langue française dans ces contes ? Qu'est-ce que Maillet sembler renforcer ou souligner dans sa représentation des Acadiens dans ses contes ?

Je pense que c’était intéressant de lire comment la langue française était changée et influencée en l’Acadie. La langue originale dans ses contes était un peu difficile de comprendre probablement parce que les Acadiens, pour la plupart étaient analphabète, alors le mot écrit était épelé phonétiquement et pas correctement. J’ai remarqué aussi que les Acadiens ont fierté de la langue et la langue faisait partie de l’identité acadienne. Par exemple, quand Maillet a douze ou treize ans et a l’école elle a décidé d’écrire sa rédaction en française au lieu d’anglais. En plus, Maillet décrivait souvent comment les Acadiens créaient leur propres mots et expressions pour mieux expliquer les événements dans leurs vies.
1. Expressions : « ce sont des expressions a nous…de même on colle des mots anciens a des images nouvelles » (12)
2. Style : « Remarquez qu’on n’a pas dit : ‘quoi c’est ca, un Acadien ?’ On ! non. Mais : ‘un Acadien, qu’est-ce ?’ Une nuance dans le style et qui change tout. Qui distingue un pays d’un autre » (96).

Je pense que Maillet renforce l’idée que les Acadiens sont les peuples simples qui ont beaucoup de fierté dans leurs traditions et histoire. Elle décrit souvent les traditions comme l’oralité et explique son importance parce que beaucoup d’Acadiens sont analphabète. En plus, Maillet parle de le difficulté et le désire de trouver une identité a cause de l’exile forcé. Similairement au Evangeline, Maillet parle de l’isolation et la détresse de la vie acadienne.
1. Identité : p.96, 121 128

J’aime quand Maillet parle d’une vraie Evangeline et comment elle est différente du personnage crée par Longfellow. La description de Maillet montre un personnage fort et astucieux qui travail dur. Je pense que j’aime ce conte aussi parce que c’était humoreuse.

lundi 22 février 2010

Evangeline II

Quelle sorte de symbole est-ce que l'histoire (la légende) d'Evangeline représente pour les Acadiens ? Comment est-ce que ce poème (et son histoire) a influence la littérature et/ou la culture (a)acadienne ?

Pour les Acadiens, la légende d’Evangeline est un symbole de leur propre histoire parce que malgré le fait qu’elle n’est pas une vraie personne, elle a enduré les temps difficiles quand les Acadiens sont exiles et les familles sont séparées. Alors, les Acadiens peuvent s’identifier à Evangeline et les autres dans sa vie.

Je pense que la légende d’Evangeline est aussi importante pour les Acadiens parce qu’elle incarne beaucoup de qualités qui sont admirable. Elle est une femme qui n’a pas abandonnée et qui reste fidèle et courageuse. Comme l’article a dit, elle est une représentation « de persévérance et de fierté des Acadiens et Cadiens qui triomphent de toutes les difficultés qu’on leur impose » (p.48).

Apres ce poème était publie, beaucoup d’autres auteurs suivraient le même route et utilisaient les même motifs et idées dans leur écriture. En plus, ce poème était très important parce qu’elle est considère une roman féminin qui a explorée les questions des moraux, politique et d’ordre social.

dimanche 21 février 2010

Evangeline

Comment est-ce que Longfellow représente les Acadiens ? Quelles sortes de caractéristiques sont renforcées dans ce poème ? Comment ?

Parmi Longfellow, les Acadiens sont les peuples simples qui travaillent dur. Ils gagner leur vie par l’agriculture et sont dépendent sur la terre. Juste comme les québécoise, la religion et la nature sont les aspects de la vie la plus importants. Souvent dans le poème, Longfellow parle de l’église et les prières. Comme Maria, Evangeline prie et prie quand son amour est perdu et les Acadiens croient qui Dieu a une plan pour tout, alors il y a une raison pour chaque chose qui passe.
1. p. 30 : « Tous ce bons villageoise, avec humilité/ Levèrent sur le Christ des regards d’espérance ;/ Ils s’écrièrent tous, oubliant leur souffrance/ A genoux et plaintifs dans leur profonde malheur »
2. Fin de IV, p. 32 : « Dans sa chambre, a genoux, le pauvre Evangeline/ Se rappela qu’au ciel est un Dieu juste et bon,/ Qui voit tout l’univers s’incliner a son nom:/ Elle se rappela l’histoire de la veille,/ Et comment, tout a coup, le monde s’émerveille/ Des leçons de ce Dieu. L’heure calme arrivait »
Je pense que Longfellow représente les Acadiens, correctement, comme victimes. C’est un poème triste parce que les Acadiens sont innocent mais ils sont maltraite.

Je pense qu’il y ait souvent une juxtaposition entre le bruit et le silence. Je ne suis pas sure pourquoi, mais cela m’a frappé comme intéressant.
1. Le Bruit/ Le Silence : p.17, 31, 36, 38

mardi 2 février 2010

1)Quelles images des "autres" (les Français, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres? Qu'est-ce que l'"ailleurs" représente ?

Les images des autres de ces chapitres créent une juxtaposition intéressante entre les vies des personnages dans le roman. Il me semble que chaque groupe n’est pas totalement content avec leurs vies. Dans ces chapitres, les images sont tristes et pessimiste quand tout décrivaient leurs vies. Les françaises luttent pour succès comme agriculteurs, mais c’est trop difficile. Les Chapelains s’accoraient avec les françaises—c’est une vie très dur. Je pense que c’est intéressant de noter que la mère Chapdelaine est plus positive et encourageante que la plupart des autres. Elle parle de sa vie avec fierté ou quelque chose de similaire et aussi, la mère essaye d’encourager les française quand elle dit, « Ca force un peu au commencement quand on n’est pas accoutume, dit-elle, mais vous verrez que quand votre terre sera pas mal avance vous ferez une belle vie » (137).

Je pense que l’ailleurs représente les possibilités. Pour chaque personnage, les possibilités sont différentes. Par exemple, l’ailleurs pour le Mere représente l’opportunité de socialiser avec ses amies et les autres paysans tandis que pour Maria, il représente le choix d’échappe la vie sédentaire ou de rester dans ces circonstances.

2)Réfléchissez au personnage de Maria--ses choix dans la vie, ses devoirs, son avenir, etc. --et comment et représente la femme québécoise traditionnelle. Qu'est-ce qu'Hémon veut dire à ses lecteurs a propos de la femme au Québec ?

Dans ces chapitres, Maria trouvait que deux hommes ont tombe amoureuse avec elle—Lorenzo et Eutrope Gagnon. A cause de ça, elle a une grande choix—marier Lorenzo et échappe la vie agricole ou suivre les traces de ses parents et rester avec Eutrope. Malgré que Maria ne veut pas continuer sa vie actuelle, elle n’a pas tombe amoureuse avec l’un ou l’autre des hommes—son couper appartenir a François Paradis seulement.

Je pense que cette situation montre le rôle de la femme québécoise parce que c’est sa responsabilité de soutenir son homme dans sa vie. Alors, qui elle décide de marier décidera son avenir et ses responsabilités.